Et toi dans tout ça?

[Plan sur Mathilde Laroche-Bougie qui parle.]

Mathilde Laroche-Bougie : Pour moi, c’est évident que consommer les produits marins du Québec, c’est comme tout naturel. C’est les meilleurs, c’est plus frais, on a des produits à découvrir, pleins de saveurs. On a aussi tellement d’entreprises qui développent des produits, des recettes avec ces produits-là. Moi, j’ai aucun problème à dire que c’est les meilleurs au monde, c’est les plus frais.

[Musique en fond sonore.]

[Plan sur Emmanuel Sandt-Duguay qui parle.]

Emmanuel Sandt-Duguay : Ça vient de chez nous, déjà. Puis derrière les produits, il y a des humains aussi. C’est sûr qu’il y a des pêcheurs, il y a des transformateurs, distribution, etc.

[Plan sur Denis Chau et Saki Kajita.]

Saki Kajita : Juste, donnez-y la chance, même si c’est votre première fois puis vous avez peur, il n’y a rien à avoir peur. Il y a juste l’amour qui est dans ça.

[Plan sur Nancy Dumont qui parle.]

Nancy Dumont : Moi, j’encourage les Québécois à aller dans les poissonneries, demander les produits qui viennent directement du Québec, qui ont été pêchés par nos pêcheurs.

[Plan sur Rayna Desgagné qui parle.]

Rayna Desgagné : Aussi, je pense que de plus en plus les gens, ils cuisinent, donc de se faire confiance, puis d’essayer. Puis si on se trompe, c’est pas grave. Puis de pas laisser aller le produit parce qu’on l’a pas bien cuisiné. Mais peut-être plus davantage aller sur les sites Web, peut-être des producteurs qui ont souvent des recettes, pour peut-être insérer les nouveaux ingrédients. Donc ouais, c’est tellement de beaux produits, on fait tellement de belles découvertes qui sont vraiment meilleures aussi pour la santé. Donc ouais ! [Rire.]

[Plan sur Kim Côté qui parle.]

Kim Côté : De pas vous décourager, je leur dirais pas de commencer avec du concombre de mer, mais d’acheter du flétan au lieu d’acheter du saumon. D’acheter du turbot. De cuisiner le crabe autrement que juste le faire bouillir dans le temps du crabe. De faire, d’explorer tout ce qu’on peut explorer du côté culinaire.

[Plan sur Elisabeth Varennes qui parle.]

Elisabeth Varennes : J’ai souvent des gens qui disent « Ah, moi, algue» tout de suite, ils s’arrêtent, ils se bloquent. Puis, je le sais, je suis comme ça. Il y a encore des produits que j’entends, puis je me dis « Ah, moi, j’ai eu des mauvaises expériences ». Mais de garder un esprit ouvert, de l’essayer juste un petit peu. Parce que nous, c’est ça, c’est les gens l’essayent, puis 80% des gens qui l’ont essayé, ils l’aiment. Donc tu peux faire partie du petit 15-20% restant, mais au moins tu le sauras, tu l’auras essayé, puis vraiment essayer de ne pas se fermer l’esprit.

[Plan sur Anh Nguyen qui parle.]

Anh Nguyen : Vous avez la chance ici au Québec d’avoir le Saint-Laurent. Avec toutes les ressources, toute la richesse, et il faut l’utiliser, il faut s’en approprier. Mais de façon responsable.

[Musique de fond s’arrête.]

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