La vie dans l'eau

La baudroie d’Amérique

Proche du fond, jusqu’à 800 m de profondeur, mais plus fréquemment jusqu’à 100 m.

La baudroie préfère les fonds de gravier ou de sable dans lesquels elle peut s’enfouir partiellement pour mieux surprendre ses proies.

L’oursin vert

Zone médiolittorale, jusqu’à 800 m de profondeur.

L’oursin vert a une préférence pour les eaux froides.

Le sébaste atlantique

Proche du fond, habituellement entre 100 m et 700 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à 1 400 m.

Le sébaste reste proche du fond pendant la journée et remonte la nuit pour se nourrir.

Le vermicelle de mer

Zone du littoral, jusqu’à 3 m de profondeur.

Le vermicelle de mer s’accroche aux fonds rocheux et aime les zones exposées aux vagues.

Le goémon noir

Zone du littoral, entre les limites de hautes et basses marées, jusqu’à 15 m de profondeur et au-dessus de là où se trouvent les fucus.

Le goémon noir préfère les milieux relativement calmes et abrités, comme les baies. Il y forme des assemblages denses.

La saccorhiza dermatodea

Zone du littoral, dans les eaux froides.

La saccorhiza dermatodea préfère un environnement turbulent, pour avoir un renouvellement constant des nutriments autour d’elle.

Le pitot nordique

Enfoui dans les fonds sablonneux, habituellement entre 50 m et 150 m de profondeur, mais il peut aller jusqu’à 600 m de profondeur.

Le pitot nordique préfère les eaux froides, entre –1 °C et 6 °C. Il s’enfouit complètement dans le sable, à quelques centimètres de profondeur.

Le fucus

Zone du littoral, jusqu’à 6 m de profondeur.

Le fucus préfère les eaux tempérées froides.

La poule de mer

Proche du fond, entre 50 m et 150 m de profondeur.

La poule de mer supporte des températures allant de 1 °C à 11 °C, et occasionnellement pour moins de 24 h, des températures allant jusqu’à 20 °C. Elle apprécie les zones rocailleuses où la végétation est abondante pour pouvoir s’y cacher.

L’anguille d’Amérique

Proche du fond, entre la surface et 464 m de profondeur, en eau douce et saumâtre.

L’anguille préfère les fonds boueux, algueux et rocailleux. Son habitat varie au cours de sa vie. L’anguille d’Amérique vit en eau douce et migre en eau salée pour se reproduire. C’est un poisson catadrome.

La mactre de l’Atlantique

Zone du littoral, habituellement jusqu’à 45 m de profondeur.

La mactre de l’Atlantique s’enterre dans le sable, peu profondément. Elle préfère les fonds à fort courant.

La raie tachetée

Sur le fond, habituellement à des profondeurs inférieures à 111 m, mais elle peut aller jusqu’à plus de 700 m de profondeur.

La raie tachetée préfère les fonds de sable ou de gravier et une eau entre –1,2 °C et 15 °C.

Une anguille la nuit

Certains animaux sont plus nocturnes que d’autres. Cette anguille profite de la tranquillité de la nuit pour faire une balade.

Le grenadier du Grand Banc

Entre la colonne d’eau et le fond, jusqu’à 2295 m de profondeur.

Le grenadier du Grand Banc est habituellement repéré à des températures entre –2 °C et 16 °C.

Le bar rayé

Proche du fond, jusqu’à 30 m de profondeur.

Son habitat varie au cours de sa vie. Le bar rayé vit en eau salée et migre en eau douce pour se reproduire. C’est un poisson anadrome.

L’entéromorphe intestinal

Zone du littoral, jusqu’à 10 m de profondeur.

L’entéromorphe tolère une salinité variable et se retrouve dans de nombreux milieux variés : fossés, bassins rocheux, estuaires, lagunes, eaux marines, etc. Il préfère toutefois les milieux calmes.

La nori

Zone du littoral.

La nori supporte bien d’être à l’air libre. Elle préfère toutefois les milieux ombragés rocheux, exposés aux vagues et aux courants.

Elle s’accroche aux rochers ou sur d’autres algues, de façon dispersée.

Plongée sous-marine parmi les algues

Les algues sont un refuge pour de nombreuses espèces, grandes comme petites.

Les phoques du Groenland vus du ciel

Horizon sur groupes de phoques du Groenland sur la banquise du Saint-Laurent.

La mousse d’Irlande

Zone du littoral, jusqu’à 10 m de profondeur, en eau froide.

Les températures trop chaudes et le gel sont mortels pour la mousse d’Irlande. Cependant, elle tolère l’eau saumâtre.

La mousse d’Irlande préfère les milieux calmes, sur des rochers plats. Elle forme des colonies touffues, qui peuvent ressembler à un tapis épais lorsqu’elle est abondante.

Elle cohabite souvent avec le fucus vésiculeux. Dans le sud de la Gaspésie, elle se retrouve aussi parmi les champs de laminaires, entre 1 m et 5 m de profondeur.

La laitue de mer

Zone du littoral, jusqu’à 10 m de profondeur, en eau salée ou saumâtre.

La laitue de mer préfère les milieux calmes et modérément exposés, car elle se détache facilement. C’est une algue plutôt dispersée. Tu n’en retrouveras pas regroupée en forêt dense sous l’eau.

Le phoque du Groenland

Au large, près de la côte, sur la banquise. Plonge jusqu’à 400 m de profondeur.

Habitant saisonnier du Saint-Laurent durant l’automne et l’hiver, il retourne dans les eaux de l’Arctique et du Groenland au printemps.

Le couteau droit

Zone du littoral, sous la marée basse, jusqu’à 35 m de profondeur.

Les couteaux de l’Atlantique vivent enfouis verticalement dans le sable ou la boue, souvent en colonie appelée gisement. Les couteaux s’enterrent jusqu’à 50 cm sous la surface du sol. Toutefois, ils ne sont pas complètement sédentaires. Ils peuvent même nager, voire sauter.

La laminaire digitée

Zone du littoral, jusque 20 m de profondeur.

La laminaire digitée aime les endroits rocailleux et exposés aux vagues. La division de la fronde dépend notamment de l’agitation de son environnement.

La tanche-tautogue

Proche du fond, de 10 à 130 m de profondeur, en eau salée.

La tanche-tautogue est un poisson sédentaire qui vit dans les eaux côtières. Elle s’installe sur le fond ou à proximité de celui-ci, dans les herbiers et les roches, autour des quais ou des épaves, par exemple.

Mactre qui se cache dans le sol

S’enfouir dans le sable, pour un coquillage, peut être une opération longue et fastidieuse.

La main de mer palmée

Zone du littoral, sous la limite de marée basse.

La main de mer palmée préfère les milieux exposés aux forts courants. Elle se fixe sur la roche ou sur les stipes des laminaires.

Le corail de la Gaspésie

Zone du littoral, dans les eaux froides.

Le corail de la Gaspésie s’installe sur des roches dans des milieux exposés aux vagues.

La morue franche

Dans la colonne d’eau, jusqu’à 200 m de profondeur.

Les juvéniles restent proches du fond, en eau moins profonde, dans des herbiers côtiers qui les protègent des prédateurs.

Le crabe des neiges

Sur le fond, habituellement entre 50 m et 350 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à 2 000 m.

C’est l’heure du repas pour les tanches-tautogues

Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Des tanches-tautogues ont trouvé un repas de choix: une carcasse de homard.

Le thon rouge de l’Atlantique

Dans la colonne d’eau, habituellement entre la surface et 100 m de profondeur, mais il peut aller à plus de 1000 m de profondeur.

Le thon rouge de l’Atlantique est un grand migrateur qui ne parcourt pas moins de 10 000 km par an. Il tolère les grandes variations de température, allant de 3 °C à 30 °C.

Il s’alimente durant l’été dans les eaux canadiennes, dont le golfe du Saint-Laurent, et passe l’hiver dans le golfe du Mexique. Il se déplace régulièrement en banc.

La raie à queue de velours

Sur le fond, habituellement entre 150 m et 550 m de profondeur, mais elle peut aller jusqu’à 1436 m.

La raie à queue de velours préfère les fonds argileux et boueux et les températures de 3 °C à 10 °C.

La limande à queue jaune

Sur le fond, à des profondeurs variant de 27 m à 364 m.

La limande à queue jaune aime les fonds sableux et vaseux. Elle préfère les eaux froides, de 2 °C à 6 °C.

La lamproie marine

Dans la colonne d’eau, jusqu’à plus de 4000 m de profondeur.

La lamproie marine supporte des températures variant de 1 °C à 20 °C.

Son habitat varie au cours de sa vie. Certaines populations de lamproie marine vivent en eau salée et migrent en eau douce pour se reproduire. C’est un poisson anadrome. D’autres populations passent leur vie en eau douce, dans les lacs.

La plie canadienne

Sur le fond, habituellement jusqu’à 300 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à plusieurs milliers de mètres.

Espèce d’eau froide, la plie canadienne peut toutefois s’adapter à des températures variant de –1,5 °C à 13 °C.

La mye commune

Enfouit dans les sédiments, sur le littoral. La mye s’enfouit dans les fonds vaseux ou sableux, entre 30 et 40 cm de profondeur, voire parfois jusqu’à 20 m.

Le saumon de l’Atlantique

Dans la colonne d’eau, à de faibles profondeurs.

Son habitat varie au cours de sa vie. Le saumon vit en eau salée et migre en eau douce pour se reproduire. C‘est un poisson anadrome.

Le saumon atlantique fréquente des rivières bien pourvues en oxygène, dotées d’un lit de gravier ou de blocs rocheux et avec un courant relativement fort.

La grande raie

Sur le fond, jusqu’à plus de 1000 m, entre 1,2 °C et 20 °C.

L’éperlan arc-en-ciel

Dans la colonne d’eau, généralement à 150 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à 425 m, dans des eaux à salinité variable.

Poisson anadrome, on le retrouve à l’embouchure des rivières en hiver.

L’alarie succulente

Zone du littoral, sous la limite de marée basse.

L’alarie succulente préfère les milieux dynamiques, exposés aux vagues, comme des caps ou des pointes rocheuses. C’est d’ailleurs la première espèce d’algue à s’installer sur les substrats dénudés.

Elle aime l’eau froide et meurt dans une eau au-dessus de 16 °C.

La mactre de Stimpson

Zone du littoral, entre la ligne de marée basse et 100 m de profondeur.

La mactre de Stimpson s’enterre dans les fonds sableux et préfère les eaux à une température de moins de 15 °C.

Le loup tacheté

Sur le fond, de 25 à 600 m de profondeur.

Le loup tacheté apprécie les eaux froides, en dessous de 5 °C. Il s’installe sur des fonds de sable, de boue et de coquillages ayant des rochers ou des grosses pierres à proximité.

Le concombre de mer du Nord

Zone du littoral, entre 20 m et 500 m de profondeur.

L’aiglefin

Proche du fond, entre 50 m et 200 m de profondeur, dans des eaux froides entre 4 °C et 10 °C.

L’aiglefin recherche les rochers et les fonds durs de sable, de gravier ou de coquillages.

Il suit des migrations saisonnières : en eaux plus profondes en hiver pour éviter le froid, en haute mer l’été.

Interaction entre deux crabes communs

Quand deux crabes se rencontrent, ça n’est pas toujours simple.

Le crabe commun

Sur le fond, entre 0 m et 575 m de profondeur. Les juvéniles restent proches du bord, sur un substrat rocheux. Les adultes se cachent dans des zones plus profondes.

La moule bleue

Zone du littoral, dans les eaux peu profondes, tempérées, avec un support pour se fixer.

La moule bleue à une grande tolérance aux variations de température et de salinité.

Le pétoncle géant

Sur le fond, jusqu’à des profondeurs de 384 m.

Le pétoncle géant préfère les fonds de gravier ou de sable, en eau froide. Une eau au-dessus de 20 à 23 °C devient mortelle pour le pétoncle.

L’huître américaine

Zone du littoral inférieur, dans des eaux saumâtres ou salées, jusqu’à 10 m de profondeur.

Se fixe sur des surfaces dures comme la roche ou des coquillages.

L’huître américaine supporte des températures allant de -2 °C à 36 °C.

L’esturgeon noir

Proche du fond, idéalement dans un fleuve relié à la mer, entre 1 m et 50 m de profondeur.

Son habitat varie au cours de sa vie. L’esturgeon noir vit en eau salée et migre en eau douce pour se reproduire. C‘est un poisson anadrome.

Ce poisson apprécie les fonds sableux ou boueux de l’estuaire et du golfe du Saint-Laurent.

La loquette d’Amérique

Proche du fond, jusqu’à plus de 300 m de profondeur.

La loquette d’Amérique se trouve souvent entre les algues et les roches sur des fonds plutôt durs. Elle tolère les eaux entre –0,5 °C et 16 °C.

La plie rouge

Sur le fond, autour de 100 m de profondeur.

La plie rouge tolère une salinité variable. Elle peut donc se trouver dans les eaux saumâtres. Elle préfère les températures entre 12 °C et 15 °C.

Le gaspareau

Dans la colonne d’eau, généralement entre 56 m et 110 m de profondeur, mais il peut aller jusqu’à 145 m de profondeur. Adulte, il peut supporter des eaux allant jusqu’à 25 °C.

Son habitat varie au cours de sa vie. Le gaspareau vit en eau salée et migre en eau douce pour se reproduire. C’est un poisson anadrome.

Le crabe araignée

Sur le fond, habituellement à moins de 60 m, mais il peut aller jusqu’à 400 m de profondeur.

Le crabe araignée vit dans les zones sableuses et rocheuses; il tolère des températures pouvant aller de -1 °C à 15 °C.

La clovisse arctique

Zone du littoral, entre 0 m et 90 m de profondeur.

La clovisse arctique peut s’enfouir tant dans le sable que dans la vase.

Le poulamon atlantique

Proche du fond, à une profondeur ne dépassant pas 70 m.

Son habitat varie au cours de sa vie. Le poulamon vit en eau salée et migre en eau douce pour se reproduire. C’est un poisson anadrome.

Il apprécie particulièrement les eaux côtières peu profondes et les estuaires.

L’agar criblé

Zone du littoral, entre 10 m et 40 m de profondeur, voire plus, quand l’eau est assez claire pour favoriser son développement. C’est donc la dernière algue rencontrée.

L’agar criblé se fixe à des roches, entre les laminaires sucrées et les alaries succulentes, lorsque celles-ci lui laissent un peu de place.

Le homard américain

Proche du fond, habituellement à moins de 50 m profondeur, mais il peut aller jusqu’à presque 500 m.

Le homard aime les fonds rocheux où il peut se cacher durant la journée. S’il y a des algues, c’est encore mieux. Il n’aime pas trop la lumière.

La Laminaire sucrée

Zone du littoral, jusqu’à 15 m de profondeur, sous la zone de marée basse et proche du rivage.

La laminaire sucrée préfère les eaux froides, en zones abritées ou semi-abritées.

Le buccin commun

Zone du littoral, jusqu’à 30 m de profondeur.

Le buccin a une préférence pour les eaux froides et les fonds sablonneux ou rocheux.

Le maquereau

Dans la colonne d’eau, jusqu’à 1 000 m de profondeur mais plus fréquemment jusqu’à 200 m, dans une eau froide à tempérée. Poisson migrateur et grégaire.

Le maquereau vit dans le fond de la colonne d’eau en hiver et remonte dans les couches supérieures au printemps. Il arrive dans le sud du golfe du Saint-Laurent vers la fin du mois de mai. Il se disperse dans l’estuaire après la ponte et repart entre septembre et novembre.

La plie grise

Sur le fond, habituellement entre 45 m et 400 m de profondeur, mais peut descendre jusqu’à 1 600 m.

La plie grise préfère les eaux froides, entre 2 °C et 6 °C, et les fonds de sable, d’argile ou de vase.

La raie épineuse

Sur le fond, habituellement entre 100 m et 500 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à 1 200 m.

La raie épineuse a une préférence pour une grande variété de fonds : sable, gravier, vase ou encore coquillages brisés. Elle vit au large dans des température variant entre 0 °C et 10 °C.

La coque du Groenland

Zone du littoral, jusqu’à 100 m de profondeur.

La coque du Groenland s’enterre dans les fonds mous de sable ou de boue.

Le merlu argenté

Dans la colonne d’eau, habituellement entre 50 m et 400 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à 914 m.

Le merlu argenté se trouve plus proche des côtes lorsque l’eau est plus chaude et il migre vers les profondeurs en hiver.

Le lacet de mer

Zone du littoral, jusqu’à 20 m de profondeur.

Le lacet de mer préfère les milieux submergés mais abrités, proches des embouchures de rivière, ainsi que dans les lagunes de mer peu profondes aux Îles-de-la-Madeleine. Il tolère bien les variations de température et de salinité.

Le lacet de mer s’attache à des surfaces telles que des cailloux légèrement enfouis dans le sable, des coquilles vides de mollusques, et même sur d’autres algues. Il peut lui-même servir de support à d’autres végétaux.

Tête-à-tête avec un homard

Lorsqu’un homard se sent en danger, il se dresse sur ses pattes, les pinces levées et menaçantes.

L’hémitriptère atlantique

Proche du fond, jusqu’à 180 m de profondeur.

L’hémitriptère atlantique vit sur les fonds rocheux ou durs et préfère les températures se maintenant entre –2 °C et 16 °C.

L’omble de fontaine

Principalement dans les eaux douces et bien oxygénées des ruisseaux, des rivières et des lacs.

Son habitat varie au cours de sa vie. Dans l’est du Québec, lorsque les rivières ne présentent pas d’obstacles, ce poisson peut migrer en eau salée pour grandir un certain temps. Il revient ensuite en eau douce pour se reproduire. C‘est un poisson anadrome.

Les fonds du Saint-Laurent

Si tu pouvais voir sous la surface, voici un exemple de fond marin que tu pourrais apercevoir.

Le flétan de l’Atlantique

Sur le fond, entre 10 m et 2 000 m de profondeur.

Le phoque gris

Résident à l’année du golfe du Saint-Laurent. Plutôt grégaire quand il est sur terre, plutôt solitaire quand il nage et part chasser. Plonge de 60 m à 100 m de profondeur, parfois jusqu’à 200 m.

La crevette nordique

Sur le fond, habituellement entre 50 m et 500 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à 1450 m.

La crevette nordique vit sur des fonds sableux et vaseux. Elle apprécie les eaux froides, idéalement à une température de 2 °C à 6 °C.

Le capelan

Dans la colonne d’eau, au large, jusqu’à 725 m, mais en moyenne jusqu’à 200 m de profondeur.

Lors de la reproduction, le capelan migre proche des côtes ou dans les fonds marins.

Le chaboisseau

Sur le fond, jusqu’à 450 m de profondeur.

Sur des fonds vaseux, sableux ou sur un lit d’algues, proche des côtes.

Le calmar à courtes nageoires

Dans la colonne d’eau, jusqu’à 500 m de profondeur.

Les calmars restent dans les profondeurs durant la journée. La nuit, ils migrent vers la surface pour se nourrir.

Le flétan du Groenland

Sur le fond, habituellement entre 500 m et 1000 m de profondeur, mais peut aller jusqu’à 2000 m.

Le flétan du Groenland apprécie les températures froides de –0,5 °C à 6 °C.

Le hareng

Dans la colonne d’eau, en haute mer et proche des côtes, jusqu’à 365 m de profondeur.

Sa zone d’habitat varie. En journée, le hareng reste dans les profondeurs. La nuit, il remonte à la surface pour se nourrir.

Le hareng vit en bancs de milliers de poissons, dans les eaux froides.